Chapter one - Un père, une mère, deux frères et pourtant sans véritable famille ๑ Avant de vous parlez de moi il faut que je vous parle un peu de mes parents. Ils sont tout les deux originaires de l'Amérique, en fait j'y suis né moi aussi ainsi que mes deux frères. Enfin ca vous le lirais un peu plus bas. Ils se sont connu de part leur deux familles, toutes les deux étant des familles importantes et influentes de Los Angeles. La famille de mon père génèrent des médecins depuis des générations, celle de ma mère d'incroyable avocats, autrement dit l’échec n'est permis dans aucune des deux. Je ne sais pas si ils se sont aimer un jour, en tout cas ils sont toujours ensemble ,mais leur relation n'a rien d’idyllique, ils pensent surtout à leurs images. J'ai deux grand frère, Rafael & Connor, ont aurait pu être une véritable fratrie je pense s'ils n'avaient pas décider de me rendre la vie impossible depuis ma naissance. J'ai cinq ans de différence avec Rafael et trois ans avec Connor, rien de bien extraordinaire me direz vous ,mais je ne sais pourquoi ils n'ont jamais accepté que j'arrive à mon tour. Nos parents n'ont jamais été les plus aimant du monde, répondant à nos caprices, enfin surtout ceux de mes frères, moi je m'en fichais si je n'avais pas la dernière chose à la mode. La seule chose que j'ai exigé c'est un chien quand j'ai eu dix ans et il m'a fallut de nombreuses semaines avant de l'avoir. Un superbe berger allemand dont je me suis toujours parfaitement bien occupé. Il a toujours été mon meilleur ami, mon confident, mon frère, celui sur qui je pouvais compté. C'est dans ce monde que j'ai commencé à grandir, on ne peut pas être quelqu'un quand sa propre famille nous rejette. Mes frères nourrissaient déjà de grand rêve, l'un voulant faire plaisir à mon père en devenant chirurgien et l'autre en faisait plaisir à ma mère en devenant avocat. Autrement dit ca ne me laisser aucune place et de toute manière aucune de ses carrières ne me vendaient du rêve. D'ailleurs je ne travaillais pas à l'école, pourquoi faire ? Peu importe les résultats que j'aurais ramené cela n'aurait jamais été suffisant ou du moins pas aussi bien que mes frères. Pourtant avec un peu de soutient j'aurais pu de loin être un excellent élève.

Chapter two - Quand on vous répète que vous n'êtes un moins que rien, vous finissez par y croire ๑ " Tu te fou de qui Slade ! Tu trouves ça amusant de nous mettre la honte internationale devant la famille entière ? T'as décidé de nous pourrir la vie encore longtemps c'est ça ?! Comporte toi comme un Stanford ! Ou fait au moins semblant de pas être un rater quand on te le demande. Tu ne peux pas être au moins la moitié de tes frères ? non ?! Je ne vois vraiment pas ou on a mal fait les choses avec ta mère, on t'as élevé de la même manière. On aurait dut voir tout de suite que tu avais un problème ! " Je restais debout tête baissée attendant que les cris de mon père cessent, j'entendais mes frères ricanaient à quelques mètres. Un problème ? Comme ci c'est moi qui avait un problème, je n'étais simplement pas un mouton qui suivrait le schéma emblématique de la famille, je m'y refusais tout simplement. Pourtant je ne disais rien, je ne relevais pas, j'avais appris à tout encaisser sans jamais montrer une once de violence ni dans le regard ni dans mes gestes. Cela lui aurait fait bien trop plaisir, comme au reste de la famille. A ce moment là j'avais quinze ans entendre ça à quinze ans croyez moi c'est difficile. " Regarde moi quand je te parles ! " Je relevais les yeux pour les fixaient sur ceux de mon paternel qui se trouvaient à quelques centimètres de moi. Je n'avais pas peur de lui, c'est ça qu'il ne comprenait pas, j'étais bien plus fort, capable de tout intériorisé pour le rendre plus dingue encore. " Tu as finis ? J'aimerais retourné faire le rater dans ma chambre, la au moins ta réputation restera sans tâche. " Il avait faillit m'en mettre une, ma mère l'en avait empêché même si je sais que cela lui aurait fait autant de bien à elle. Je n'avais pas bouger d'un centimètre, mon chien allongé dans le coin d'une pièce c'était levé pour me protéger, mon père pesta contre lui avant d'aller s'assoir. Quant-à moi j'étais tout simplement monté dans ma chambre accompagné de Buck.

Chapter three - Avoir un physique avantageux ne veut pas dire être un tombeur ๑ J'ai toujours eu cette étiquette du beau goss écervelé, celui qui a un corps de rêve ,mais un cerveau inexistant. Je pense que les gens n'ont jamais compris qui j'étais vraiment. Je n'ai jamais utilisé mon physique pour duper les autres, ni pour obtenir quoi que ce soit. Je ne suis pas naïf je sais que ca aide parfois, j'aime simplement faire du sport, courir avec Buck tôt le matin, être simplement seul et pouvoir m'entendre penser. En plus de ça je n'ai jamais été à l'aise avec les filles, je ne sais jamais comment leur parler, quoi leur dire, j'ai eu quelques histoires bien sur ,mais j'ai toujours eut comme commentaires : " t'es trop gentil " oui je ne comprendrais jamais rien au filles je crois. Quoi qu'il en soit je n'ai pas eu mon diplôme, autant dire que ce fut un véritable drame dans ma famille, presque autant qu'un décès je crois. J'ai même surpris une conversation de mes parents vraiment très blessante : " Peter qu'est ce qu'on va faire de lui ? Il ne fera jamais rien de sa vie et son comportement commence à avoir des effets néfaste sur nos relations. Maya tu te souviens, mon amie autrichienne, elle a refusé de venir le week end prochain ayant peur de se retrouver dans la même maison que lui. Il va vraiment falloir faire quelque chose. " Silencieux je m'étais contenter d'écouter : " J'en sais rien April ! On a tout essayer, malheureusement il porte mon nom et ça on peut rien y faire. Non je pense que la solution c'est au moins qu'il prenne son indépendance, ne plus l'avoir ici sera déjà un plus. " Si c'est ce qu'ils voulaient, j'allais leur donner leur donner satisfaction, cela me démanger depuis bien trop longtemps de toute manière. Le soir même j'ai donc fait mes bagages et les semaines qui suivirent je me trouvais un appartement en colocation avec deux personnes en Australie , c'était mieux que rien. J'ai pu à partir de la me consacré à ma seule et unique passion, le cinéma. J'ai toujours rêvé d'être acteur alors j'ai profité de ce nouveau départ pour me lancer. Je suis Slade et a défaut d'être chirurgien ou avocat, je suis un acteur.